• PeutMieuxFaire@jlai.lu
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    6 hours ago

    Tout à fait. J’ai mis des années à comprendre ça. Seulement ce qui est facilement mesurable, mettable en chiffres / en tableaux est pris en compte. D’où, je suppose, la manie des « métriques ». Et si l’indicateur devient l’objectif ça part dans le surréalisme, cf les chiffres du chômage en période d’élections ?

    D’un autre côté, ce qui est difficilement / pas mesurable est considéré comme sans importance. C’est le sophisme quantitatif.

    Je devrais peut-être me recycler dans la sociologie ou l’ethnologie d’entreprise, c’est inépuisable.