« sécuriser la situation juridique » c’est la novlangue pour « légaliser nos pratiques abjectes » apparemment

  • Snoopy@jlai.lu
    link
    fedilink
    Français
    arrow-up
    2
    ·
    5 months ago

    Le monde agricole est mal payé. C’est un métier avec un fort taux de suicide qui croule sous les charges administratives (dont les normes environnementale) et financières.

    Dans beaucoup de fermes où j’ai travaillé, les maraichers et maraichères vivaient sous le smic.

    • karmiKiwi@jlai.lu
      link
      fedilink
      Français
      arrow-up
      3
      ·
      5 months ago

      Compliqué de comparer des maraichers indépendants avec des viticulteurs. Ce sont deux mondes qui n’ont rien à voir en terme de rentabilité…

      • Snoopy@jlai.lu
        link
        fedilink
        Français
        arrow-up
        3
        ·
        edit-2
        5 months ago

        Ben je placerais un saisonier au meme niveau que les maraichers. C’est les meme aleas climatiques, les meme conditions de travail et de vitesse avec des prix très bas.

        Après, effectivement le vin se demarque par son exportation, son marché. Gérant/saisonniers

        Peut-etre la comparaison serait plus pertinente avec les récoltes dans les vergers où c’est la même choses niveau boulot : un gros volume de récolte à assurer en un laps de temps très court.

        • karmiKiwi@jlai.lu
          link
          fedilink
          Français
          arrow-up
          5
          ·
          5 months ago

          En tout cas il faut distinguer cueilleur/vendangeur des propriétaires (exploitants viticoles).

          Et il faut distinguer les exploitations en fonction de leur taille.

          En tout cas, j’ai grandi dans des milieux viticoles (vin et champagne) je te confirme que les vendanges c’est de la maltraitance.

          • Snoopy@jlai.lu
            link
            fedilink
            Français
            arrow-up
            2
            ·
            5 months ago

            Oui. je me rapelle encore des mains écorché de ma mère et de la crème nivea qu’elle s’enduisait.

            Dans d’autre exploitation viticole, plus petite, ça semble différent. Du monde les sourds me font des retours positifs et reviennent avec des bouteilles de vins.

            Mais ça reste très dur, très physique et long.